Par Séréna Eychenié, guide-conférencière. 

Apparu dans les années 1960 à Philadelphie en tant que moyen d'expression dans l'espace public, le street-art s'est très vite développé à New-York avant de quitter les frontières américaines pour s'exporter ailleurs dans le monde, grâce à des artistes comme Jean-Michel Basquiat (1960-1988) ou encore Keith Haring (1960-1990).

En France en particulier, la vague street-artiste s'empare de Paris qui se retrouve dès les années 1990 décorée de toutes parts : dans ses métros, ses rues, ses immeubles, ses toits, autour de figures comme Jérôme Mesnager ou Jef Aérosol, Miss Tic, et tant d'autres, chacun.e avec des techniques propres et reconnaissables (pochoir, lettres, mosaïques, miroirs, etc.).

Par nature éphémère, illégal et clandestin, les années 1980 puis 1990 sont marquées par l'innovation de cet art de rue qui s'affiche désormais au grand jour. Pour comprendre cette époque et également comment le street-art a gagné ses lettres de noblesse, nous reviendrons sur l'origine de cet art, son vocabulaire, et bien sûr, sur le tournant des années 1990, en France comme ailleurs, à l'occasion des 30 ans du réseau des médiathèques de la ville.

 

Entrée libre dans la limite des places disponibles. 

Au-delà de 10 min après le début de la conférence plus aucune entrée ne sera autorisée. Merci de votre compréhension.

 

 

 

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